Il m’a semblé, tout au long d’un colloque consacré aux
« méthodes et stratégies de gestion de l’information par les
organisations : des "big data"
aux "thick data" » auquel
j’ai participé récemment, que se dégageait un accord général sur la nécessité
de donner la priorité à la fonction cognitive plutôt qu’à la fonction
statistique ou à la méthodologie plutôt qu’à la technologie. Mais peut-être n’est-ce
là qu’un effet de mon tropisme avéré pour l’analogie du discours dialectique
plutôt que pour l’exactitude du calcul numérique ?