Essai de philosophie politique appliquée (suite)
PROLOGUE (suite et fin)
… et un glossaire
Glossaire, c’est donc le premier mot qu’il convient de contextualiser. Il nous vient du latin glossarium, dérivé de glosa, glossa et du grec glôssa, désignant la langue et, en grammaire, un mot rare ou dialectal. Ces deux origines nous ont donné le mot « glose » pour désigner, selon l’Académie, « l’explication d'un mot ou de quelques mots obscurs d'une langue par d'autres mots de la même langue » et, par extension, « un commentaire servant à l’intelligence d’un texte ».
C’est cette histoire du mot « glossaire » et en particulier cette dernière extension de sens du mot « glose », que je retiendrai afin de justifier l’utilisation qui en a été faite pour aborder ce travail sur le vocabulaire, et contribuer ainsi à l’intelligence des travaux en sciences de l’information et de la communication, et de leur application philosophique à la politique.
Cette intelligence, s’exercera dans un premier chapitre sur des concepts appliqués à l’individu, pour s’intéresser dans le suivant à d’autres objets impliquant le collectif et les échanges au sein de cette collection d’individus, qui permettent un travail d’équipe. Elle s’appliquera enfin dans un dernier chapitre, à définir les termes permettant de contribuer à l’organisation de tout ce qui peut transformer en collectivité policée, ce corps collectif constitué en équipe dans la cité.
À terme, ces chapitres, qui réunissent les nombreuses entrées de glossaire composant cet essai, feront l’objet d’une publication réunissant l’ensemble sous forme d’un ouvrage complet en version imprimée doublée d’une version électronique. En attendant, ces entrées qui sont susceptibles d’être encore complétées ou précisées, sont accessibles à partir de liens dans le texte de cette introduction, ainsi que sur ce blog à l’onglet "Terminologie".
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